Le projet Alphazik est mené par les classes de Moyens de Nathalie Felder et Vera Graff, à l’école Pfister Colmar (68), et leurs invités (CE2 C et D de St Exupéry et MS-GS de Pfister)
Notre but a été de créer un abécédaire sonore sur l’Afrique, d’où le nom ALPHA (pour les lettres de l’alphabet), ZIK (pour la musique), d’Afrique (thème de l’année).
Pour ceux qui possèdent l’abécédaire papier, vous pourrez entendre ci-dessous les enregistrements de chaque lettre de l’alphabet avec les voix des enfants de la classe et des classes invitées. Merci aux ATSEMS qui nous ont aidé dans les réalisations artistiques et qui ont patiemment collé, monté et relié tous les abécédaires :
J’espère que vous prendrez autant de plaisir à écouter cet abécédaire que nous à le réaliser.
Très bonne découverte et laissez-vous enchanter par les ambiances sonores d’Afrique. Nous serions heureuses que vous n’hésitiez pas à partager ce lien autour de vous.
Pour ceux qui ne possèdent pas la version papier, voici la vidéo complète :
Enrichis d’écoutes et de découvertes artistiques sur le rythme et le slam et à partir d’un travail pluridisciplinaire mené autour de l’écriture et de la diction, les élèves mettront en voix et en rythmes les textes qu’ils auront créés. Valentine leur fait découvrir et pratiquer le rythme à travers leur corps et des petits objets et les guide pour une mise en voix/sons et en scène de leurs créations.
Slam tutti
Pour ce slam commun, les enfants ont choisi le thème de la nature. Ils ont écrit le texte ensemble, avec leur maitresse. Après avoir appris une mélodie, deux phrases de beatbox et une phrase de percussions corporelles, ils ont crée leur partition à partir d’objets sonores sur le thème (bâtons de pluie, appeau, guiro, capsules, radios).
Slams par groupes
Bonus
Cadeau surprise de fin d’année pour la maitresse. Réalisé par les filles de CM2.
Voici un aperçu sonore et visuel du travail réalisé avec la classe de CP de Fortschwhir (2020/2021) et leurs maitresses, Isabelle et Marjorie. Ce projet a été mené grâce à un financement ACMISA (rectorat + DRAC).
15 séances de musique qui auront pour objectifs de nous connaitre, d’apprendre à travailler ensemble, d’éveiller notre écoute et de s’engager dans une démarche créative en mettant en sons différents poèmes au fil de l’année. Les enfants font preuve de concentration, d’imagination et de bienveillance, bravo !
Je vous propose une découverte de notre travail en deux temps, tout d’abord, pour laisser grande place à l’imagination, vous pourrez écouter les poèmes sans les images puis dans un second temps visionner les vidéos.
Voici le résultat de notre projet sur les émotions. Projet démarré en mars, terminé en décembre 2020. La couleur des émotions aura traversé le covid, avec succès !
Cette année à l’école maternelles des Muguets (Colmar-68), nous travaillons sur un projet autour de la fabrication d’instruments, d’objets du quotidien détournés en objets sonores.
Durant toute cette année, les enfants de l’école maternelle d’Orbey travaillent sur les différents continents, en littérature, en géographie, en musique, en danse …
Leurs chants seront accompagnés par des musiciens d’exception de l’école élémentaire ! Voici des extraits des différents morceaux ainsi que les partitions correspondantes. Bon travail !
Un nouveau projet a démarré à l’école maternelle des Muguets à Colmar ! Grâce au financement obtenu par l’ACMISA, les enseignants, les enfants et moi-même allons mettre en musique l’histoire « Scritch scratch dip Clapote » écrite par Kitty Krowser.
Nous travaillerons ensemble chaque semaine pendant 30 minutes par classe, de janvier à avril.
Six mois passés à Biesheim (janvier à juin 2015), et l’année se termine déjà … voici un aperçu en chansons et en dessins du travail réalisé avec les enfants et les enseignants depuis janvier. Merci à tous !
Voici quelques créations sonores réalisées pour la pièce que travaillent les 3° (2013/2014) en option théâtre au collège René Cassin (Gond Pontouvre 16).
Pour planter le décor :
« Ce n’est pas parce qu’on est mort qu’on n’a plus rien à dire ». De dessous les dalles du cimetière de Moret-sur-Raguse, les défunts se refusent au silence. Jeunes et moins jeunes ressassent leurs joies, leurs amours, leurs rancœurs, leurs regrets et leurs obsessions parfois peu avouables, souvent cocasses ! Surprenante histoire d’une communauté où la singularité de chacun fait résonner en nous ces vivants d’un autre monde. Avec une lucidité implacable, l’auteur français Patrick Kermann laisse entendre une multitude de voix dont le message réconfortant pourrait bien être : « Ne vous inquiétez pas, tout se passera bien! ». Petit village de campagne. Cimetière communal. Ils sont des dizaines ici, tous ou presque se connaissent. Vous allez apprendre tout ce que vous n’avez imaginé savoir… Ils reviennent et veulent nous parler, il suffit de tendre l’oreille… vous allez en apprendre des vertes et des pas mûres!
Chaque interlude correspond à un passage silencieux d’élèves masqués, introduisant une ambiance, des sentiments, une émotion différente allant de la profondeur à la légèreté.
Voici quelques créations sonores réalisées pour la pièce que travaillent les 3° en option théâtre au collège René Cassin (Gond Pontouvre 16) ; chaque interlude précède une partie, introduisant une ambiance, des sentiments, une émotion. Les heures sont ensuite annoncées par un élève et marquent le début de chaque partie.
« La fille qui rit » de Bernard Friot
Sacrilège, Louise a ri au nez d’un professeur. Elle attend d’être reçue par le proviseur du lycée. Entre deux pouffements étouffés, elle parle d’elle, de ses chagrins, ses amours…
Louise attend d’être reçue par le proviseur. Les minutes s’égrènent, elle laisse vagabonder ses pensées. Il y a tant de choses dans sa tête, dans son ventre : son amour des mots qui comblent le vide, et ses rires qui la saisissent soudain, incontrôlables, énigmatiques et pourtant si bons.
Quintessence de l’adolescente pas bien dans sa peau, la narratrice Louise met mal à l’aise ses proches mais aussi le lecteur ou spectateur. Plus que des larmes à la signification claire, le rire « intempestif »est dérangeant. Immédiatement, on sent qu’il cache des souffrances plus ou moins conscientes.Ici, il s’agit principalement d’un drame familial, la disparition d’un jumeau. Soit, rire semble l’aider. Mais de mécanisme de protection initial, il a fini par envahir le quotidien de la jeune fille, jusqu’à la rendre socialement inadaptée. Les sens exacerbés que chacun peut ressentir à son âge se concentrent sur cette unique manifestation, avec laquelle elle aime d’ailleurs jouer : la douleur de se retenir, l’envie de se lâcher, la libération quand elle se laisse aller. Bref, le rire est partout, pour le meilleur et pour le pire d’une héroïne à fleur de peau.
10h19 :
Introduction, pour situer le contexte dans lequel se passe la scène.
10h49 :
Le fond instrumental est extrait de « En passant par Tréguier » du groupe Maltavern (avec leur aimable autorisation!)